Le Dr Mosgöller étudie les réactions cellulaires sous l’influence des radiations électromagnétiques à la Faculté de Médecine de Vienne. Il a abouti à des conclusions similaires à celles de l’étude Reflex. En raison de ses recherches sponsorisées par « Allgemeine Unfallversicherung » (AUVA, Vienne), le Dr Mosgöller a conduit ses études de façon relativement indépendante. Il a été invité à se présenter en tant qu’Expert témoin dans le recours collectif des patients atteints de tumeur cérébrale, contre  l’ensemble du secteur de la téléphonie mobile aux plus hauts niveaux des tribunaux américains, à Washington, D.C.

Il y a autant de facteurs conduisant au cancer, que de variations du cancer. Cependant, nous pouvons affirmer que des brins d’ADN se brisent sous l’influence des radiations de téléphonie mobile et nous savons que cela comporte un risque inhérent pour chaque cellule. Ce qui manque, c’est la preuve que ces gènes spécifiques souffrent face à ces radiations mobiles. Nous nommons ces gènes oncogènes, ou gènes protecteurs du cancer. Cependant, si vous observez le mécanisme, c’est simplement une question de temps avant que ces gènes soient eux-aussi impactés.